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Stavros

Aries Cerat, Chypre

Stavros, c’est pas n’importe qui !

Ingénieur en mécanique et aéronautique, il est spécialisé en robotique, automation CNC et électronique.

Mais passionné de musique dès son adolescence, très tôt il se lance dans la fabrication de pavillons, comme Bouygues et d’électroniques à lampes comme Mazda et conçoit patiemment un système de A à Z prime, du PC aux enceintes à pavillons.

Plus tard, adulte, grand, fort de son expérience d’ingénieur, il envisage une conception radicalement innovante des mêmes idées qui n’ont guère évolué depuis 50 ans et décide de créer Aries Cerat en 2010 à Limassol.

Soucieux de ne pas s’enliser dans une démarche uniquement scientifique, il favorise une part importante à l’influence artistique dans ses études. Cette combinaison se voit ! Et s’entend parce que quand même, on est bien au-delà des chiffres dans les créations de Stavros, on met les pieds dans la poésie du vrai.

Dès sa naissance, la société et le laboratoire se sont généreusement dotés en outils divers et puissants, tels qu’une station de travail 5 axes, une mini station 3 axes, et une série d’équipement et d’outils que Stavros développe lui-même avec ses petites mains et sa grosse tête pour profiler les pavillons, les filtres et les charges, ainsi que des softwares pour développer ses propres HP. Et une imagination débridée, un refus de se cantonner aux habitudes, une volonté féroce de sortir du cadre, qui forment aussi une sorte de machine de création.

Ainsi sont nées les innovations stupéfiantes des Impera II à savoir l’utilisation inversée du tube ou Pondera et son alimentation NOIS, soit une totale reconsidération de l’utilisation du tube et l’alimentation, c’est super impressionnant, on ne sait absolument pas ce que ça veut dire alors qu’il nous l’a expliqué pendant des heures mais le résultat parle bien plus que les vocables !

Le poids des expressions, le choc des sensations !

Même s’il passe le plus clair de son temps dans son laboratoire, Stavros s’évertue à dégager des espaces à ses autres passions, l’astrophysique et la sociologie…

Morbleu, ça en jette quand même !