crédits : DR.

Jonathan Carr & Yoshinori Mishima

Lyra, Japon

L’un conçoit, l’autre fabrique à la main.

 

Oui, on est vraiment loin des multinationales, on approche de l’art, chaque geste extrêmement méticuleux dans la réalisation ne pouvant être transmis qu’après une longue initiation, à tel point que la jeune assistante de Yoshinori ne va pas encore jusqu’à l’assemblage final.

 

C’est beau non ?

 

Une cellule Lyra est équilibrée, droite, ardente et dynamique, elle va farfouiller bien au fond du sillon, là où les autres manquent d’oxygène, pour en extraire ces fibres musicales diaphanes qui parachèvent la poésie de l’œuvre.

 

C’est beau non ?